Oeuvre suprême de Salvador DALI.
Toile gigantesque peinte dans les années 1966/1967.
Présentée à l'occasion de l'hommage à MEISSONIER à l'hôtel Meurice à Paris.
L'essai pictural de l'oeuvre montre à quel Christian s'interroge
sur le bien, le mal, le comment, l'horreur.
La traduction est forte, en acte et en couleur.
Pour exprimer son désarroi, il va mettre en fond de toile ce ciel gris pesant,
ne contrastant pour ainsi dire pas avec les pêcheurs qui retirent les thons
à l'aide de harpons, du piège qui leur a été tendu.
En avant plan il veut que le visiteur qui visionne l'ouvrage s'interroge sur cette incompréhensible envie de destruction.
Il va la représenter par des couleurs vives, des êtres inhumains, des visages à l'allure de masques mortuaires ou surréalistes
1971
Ouvrage qui décore le bureau du 1er échevin d'Evere avant la transformation de la maison communale, il représente le créateur qui sanctionne l'être humain pour son obstination à détruire son environnement et ses semblables, au nom de la cupidité.
Ce qui amènera irrémédiablement le chaos
1972
Cet ouvrage présente le chaos, le dérèglement de notre système solaire, notre univers détraqué se voit interdit de lumière céleste
2004
Les bras en croix, la femme semble supplier et demander pardon,
son corps ne fait qu'in avec l'instrument de musique,ce qui donne une touche érotique à l'ouvrage.
photo. 6 - Le rouge exprime la joie, le jaune symbolise la lumière spirituelle, le vert emblème de l'éternité et des renaissances, le noir antithèse du blanc, représentant du monde souterrain ou s'opère la régénération du monde, couleur de la pureté marquant que rien n'a été accompli.
Et l'artiste... Il va puiser les forces qui lui donnent l'inspiration, la volonté de faire passer les messages - d'amours, de contestations, de remises en question.
photo. 8 - Les blés, jaunes mûris au soleil, les seins stylisés, la pomme en forme de sexe.
Amour et fertilité, confiance en soi, tous les paramètres sont réunis pour se laisser tenter par une rêverie
photo 14 -
2004 Décadence
photo 3 - ouvrage effectué pour la journée du cancer du sein.
photo 4 - La connaissance - Apanage des religions, des philosophes et des érudits.
Le temps est venu de la transmettre au bon peuple.
2008 - L'aube des temps
Christian Stevens
Après tant d'années de recherches et de créations , j'ai pris conscience, qu'il fallait à tout prix sauver la mémoire vive des acteurs de passage et essayer de passer le flambeau aux générations futures.Trop de documents sont perdus ou détruits par manque de sensibilisation ou perte d’Intérêt de notre patrimoine .
Il faut à tous prix rendre nos archives vivantes et les sortir des murs dans lesquelles elles reposent en sécurité et qui seront consultés que par quelques autres chercheurs. Le succès est une fausse valeur, rarement en rapport avec l'effort fourni ou avec le sentiment de réussite et me paraît même immoral.
La chance n'est pas là ou on la croit. Elle n'est pas dans la gloire, elle est dans le trajet personnel qu'il vous faut accomplir.Je suis persuadé que je n'ai jamais laissé passer un "train"...
Lorsqu'il passe je saute dedans !
Ce n'est pas forcément un train très populaire, ni un train glorieux, mais c'est mon train.
Tout au long des pages de mon site, je dis ce que je pense. Il est possible que ce que je dis, surprenne ! Mais je ne me priverai pas de dire ce que je pense sous prétexte que cela risque de surprendre !
Bruxellois par excellence j'ouvre les yeux le 21 mars 1947 dans la boulangerie de mes grands parents paternels au 964 de la chaussée de Haecht à Evere (Bruxelles) où je passe toute mon enfance.
Mauvais élève, mon attention se tourne vite vers les arts. Je décide de travailler à l’âge de 14 ans et suit les cours par correspondance de la Famous Artist School d’Amsterdam.
En 1971, je décide de me lancer dans mes première toiles et découvre très rapidement le goût du surréalisme en réadaptant « la pêche au thon » de Salvatore Dali, mon peintre favoris.
Sportif – je pratique le volley-ball et l’athlétisme a haut niveau et entreprend en 1974 la carrière de policier
Je donne petit à petit mes priorités à ces domaines et cesse petit à petit de peindre.
En tant que policier, je vais participer malgré lui à toute les contradictions et tempêtes idéologiques de l’époque, quelles soit politiques, culturelles ou sociales.
Je vais combattre les « ……… » imposées par le monde politique au corps de police et déclenche les actions qui mènent quelques temps plus tard à la grande réforme des polices en Belgique
On m'appellera le « Serpico » bruxellois
Toute mon énergie, je vais la mettre au service de la société
Le monde techno-scientifique, les transformations des méthodes de production et de distribution des biens de consommation, l’émergence des nouvelles classes sociales et des nouvelles consciences nationales, la crise des valeurs traditionnelles, tous les élément sont rassemblés pour m’interpeller
Et va commencer ma folie épistolaire (l’équation de la drogue et le mal nécessaire)
En 1989, je crée le Cercle d’Histoire, de Folklore et d’Archéologie d’Evere (Bruxelles), par le biais duquel je vais publier 22 ouvrages sur le passé de la Région.
En 1991, j' achète une petite ferme en désuétude, au centre de Bruxelles, sur le lieu-dit du Geuzenberg (mont des gueux) et crée en 1994 dans ce havre de paix surréaliste entouré d’immeubles à étages multiples le musée de la witloof (endive-chicon).
Février 2005 l’heure de la retraite a sonnée, et je décide de quitter Bruxelles définitivement.
Je vend mon bien et vient m’établir dans l’Ariège à Montels très précisément.
Je vais redécouvrir le monde rural, d’agriculteurs et d’éleveurs de bétail en pleine mouvance, un monde rude, vivant en vase clos qui ne laisse que très peu de temps aux loisirs et qui a difficile à suivre le rythme imposé par l’Europe, la mondialisation et le capitalisme sans limite de ce début du 21ème siècle
Ce monde que je redécouvre va me donner l’envie de reprendre ma plume et mes recherches afin de comprendre pourquoi une vallée ayant été si prospère, grâce aux exploitation minière est devenue une vallée de passage entre Foix et Saint Girons ou les habitants s’ils veulent se déplacer sont obligés d’avoir une voiture, car de nombreux villages ne possèdent ni épicerie, ni café, ni poste, donc je décide de travailler sur le Séronais, ses moulins, ses forges, l’instruction, sur la ligne de chemin de fer Foix – St Girons qui deviendra la voie verte (dont je suis le Président à ce jour)
Président depuis 2010, j'ai développer divers dossiers et participé à diverses réunions sur le développement des mines de Alzen/.Montels et sur les chemins de randonnes qui sont dans un état d'abandon avancés.Chaque fois je me suis trouvé devant un mur au niveau municipal, au niveau de la communauté des communes et du PNR.. Depuis 2018, je suis ravi qu'un vent de changement a vu le jour.
17, promenade du Champs de Mars - 09240 La Bastide de Sérou
Stevenschristian99@gmail.com