Le geuzenberg ( mont des gueux ) - berceau du chicon

Avant tout ... une réflexion

Tout au long de mon existence, je me suis fixé des challenges,.

Dans chaque domaine que ce soit les sports, la police, la politique, la peinture, la culture, à chaque fois j’ai bousculé les structures, dénoncé les absurdités, essayé de changer les mentalités, à coups de gueule car la diplomatie n’est pas ma tasse de thé et tout compte fait cela ne m’a pas mal réussi

 

Le dernier challenge -1991 le Geuzenberg 

Quand dire ? Un projet génial !! on est parvenu à sauver la petite ferme voué à disparaître au nom de l’urbanisme à outrance mis en place par le pouvoir politique qu’il soi de droite ou de gauche …….enfin il n’y a plus que du centre puisque plus personne n’ose avouer qu’il est de droite ou de gauche

 

Ce projet est la preuve que même dans notre société égoïste, tournée vers le « je dois tout recevoir et rien donner », il est encore possible de changer les choses

 

Revenons à nos moutons, il va de soi que cela n’a été possible qu’avec l’aide et le concours de mes compagnes et épouses successives, les volontaires, les clients et toute les autres personnes qui ont cru en ce projet

et vous pouvez me croire, ils y en a eu,

 

Toutefois une ombre au tableau, comme don quichotte avec ses moulins, je ne suis pas parvenu a arrêter cette frénésie de la pierre, et d’après les plans que j’ai pu étudier, je vous promets que cela ne fais que commencer

En clair, nos élus ne veulent pas changer leur fusil d’épaule et continuent à proposer des réalisations ou la pierre et le macadam dominent, sans penser a l’aspect humain

 

Nos élus ont mis en place une structure urbanistique qui est un creuset ou l’égoïsme se complète d’une façon exemplaire

 

je ne m’y retrouve pas dans cette structure et comme nul n’est prophète dans son pays je m’en vais

 

Donc ma décision est prise, je vends le Geuzenberg et je m’installe dans le sud de la France, plus précisément à FOIX dans les Pyrénées

 

 

le musée    estaminet-resto

Louée comme dépôt, la ferme est rachetée en désuétude en 1991 par un passionné de l’histoire locale qui n’est autre que l’actuel propriétaire. Il la transforme et y installe son domicile ainsi que le Cercle d’Histoire et d’Archéologie d’Evere qu’il avait porté sur les fonds baptismaux en 1988. La grange est aménagée à l’aide de matériaux de récupération en estaminet des vieux métiers.

 

En mai 1994, Christian Stevens quitte la Présidence du Conseil d’administration du Cercle d’histoire.

Le Cercle s’installe au Musée communal en apportant dans sa hotte tous les outils reçus pendant les années passées au Geuzenberg et exposés dans l’annexe du musée.

 

En date du 17 mai 1994 naît le « Geuzenberg » - musée de la Witloof asbl1.

 

 Parution au Moniteur des asbl du 21.6.94 - n° identification 11737/94.

Le social par les     animations

      Public cible

Tous les habitants de la région et non seulement les passionnés de la Witloof.

 Beaucoup arrivent à se raconter, à se restituer dans le temps.

Les écoles, par exemple, à partir de ce que les jeunes visiteurs ont observé, pourraient suivre une animation dans la section active : discussion, dessins, création d’objets, narrations, contes, travail dans les plantations, etc.Cette animation est très importante si l’on veut créer chez le jeune visiteur l’envie et le goût de revenir avec ses parents et, chez les parents, le souci de visiter avec leur enfant un lieu culturel qui ne soit pas ennuyeux.

 

En dehors des enfants, il est possible d’imaginer des actions spécifiques avec les adultes et le troisième âge.

 

Pourquoi ne pas inviter les aînés à venir raconter aux enfants leurs « histoires de jeunesse ». Cela permettrait de renouer le dialogue entre les générations et de permettre aux gens plus âgés de se sentir concernés et valorisés.

 

Historique

La culture du          chicon

Evere, orpheline de ses cultures de céréales, se lance dans l’aventure du chicon, qui transformera ses champs en jardins potagers et ses agriculteurs en maraîchers.

Le Geuzenberg est alors entièrement voué à la culture artisanale du chicon.


Le Geuzenberg est un lieu dit sur le plateau de Loo, plateau qui sépare la vallée de la Senne de celle de la Woluwe. Pendant les guerres de succession d’Autriche, il devient un cimetière pour soldats protestants, que l’on ne peut enterrer sur les Terres Consacrées par l’Église.

Divers écrits et ossements retrouvés sur place prouvent qu’ils y sont jetés dans des fosses communes.

 

Au début du siècle, la crise agricole et le percement du canal de Willebroek attirent les céréaliers sur les rives de cet axe de communication, se conjuguant pour faire disparaître l’orge, le blé, le seigle et le froment de ce haut lieu bruxellois de la production céréalière.

Evere, orpheline de ses cultures de céréales, se lance dans l’aventure du chicon, qui transformera ses champs en jardins potagers et ses agriculteurs en maraîchers.

Le Geuzenberg est alors entièrement voué à la culture artisanale du chicon.

 

La deuxième guerre mondiale sonnera le glas du caractère rural de la commune. Au lendemain de la libération, l’urbanisation devient le credo des mandataires politiques et, d’hectare en hectare, le chicon est chassé vers la campagne flamande, tandis que le hameau se transforme en cité dortoir.

 

Pourquoi l’appellation « Geuzenberg » ?

Le mot français « GUEUX » qui compose le nom de lieu-dit est utilisé pour désigner un indigent qui est réduit à mendier.

Le mot flamand « BERG » qui compose également le nom est utilisé pour désigner un mont (montagne).

GEUZENBERG = MONT DES GUEUX

 

L’inquisition espagnole poursuivait les protestants. Ceux-ci constituaient une population importante, qui se réfugiait dans la clandestinité. Ils tenaient secrètement leurs offices religieux le plus souvent en dehors des grandes villes.

 

Les accotements élevés du Heerweg (chaussée de Haecht), Brussel-Mechelen, près de la chapelle Saint-Vincent étaient un point de rassemblement de prédilection car on voyait arrivé les troupes venant de la ville, longeant la chaussée de Haecht en passant par la vallée Josaphat.

 

Le Geuzenberg était également un cimetière où étaient enterrés les soldats protestants de Hannovre qui, pendant la guerre de succession d’Autriche (1740-1745) succombèrent dans la région Evere-Schaerbeek-Vilvorde. Le curé local refusant de les enterrer dans les terres consacrées par l’Église.

 

Rue Lekaerts

Cette rue méconnue présente la particularité de ne posséder qu’un seul immeuble. Les plans les plus anciens de notre commune mentionnent déjà un chemin « Lekaerts » ou « de Lekaerts ». Il partait de la chaussée de Haecht (que les vieux Everois appelaient « Desstraat » ou « Esstraat »), à peu près à l’angle de Puytjensweg (rue J.B. Bauwens), traversait le chemin de Haren, (rue J.B. Bauwens) et parmi les champs, les prairies et les briqueteries, aboutissait au Houtweg, dans sa partie actuellement appelée avenue Jules Bordet.

 

C’est en 1874 que fut établi le cimetière de Bruxelles. L’angle septentrional de ce quadrilatère se trouve précisément à l’intersection de l’ancien Houtweg et du chemin Lekaerts, dont il subsiste d’ailleurs un vestige à cet endroit.

Les anciens plans n’indiquent aucune habitation le long de ce chemin, qui devait, selon toute vraisemblance, desservir uniquement les champs et les briqueteries.

Rien d’étonnant à cela ! Evere compte en 1786, 341 habitants, groupés principalement autour de Saint-Vincent et des Deux Maisons.

En 1846, on dénombre 269 maisons, dont 3 inhabitées et 1.377 habitants.

 

Depuis lors, l’urbanisation rapide d’Evere fait disparaître la plus grande partie du chemin Lekaerts : l’implantation du chemin de fer l’a amputé d’un côté et le lotissement de l’îlot Desmeth/Conscience - Oud Kappelleke/Bauwens de l’autre.

Aujourd’hui, cette rue fantôme démarre au fond du parking de la maison communale et s’arrête dans le jardin d’une propriété de l’avenue Conscience.

 

Une seule habitation lui permet encore de conserver son statut de rue : une ancienne fermette sise au n°29 et devenue le Musée-Estaminet du Geuzenberg.

 

La Ferme

La construction de la ferme remonte à 1891.

Le plateau comptait à l’époque cinq exploitations agricoles dont elle est aujourd’hui la dernière survivante. Le puits central (15 mètres de profondeur), toujours visible, alimentait en eau les cinq fermes familiales du plateau.

Par miracle, elle échappera au bouleversement urbanistique et à la disparition du reste de la rue Lekaerts.

Louée comme dépôt, elle est rachetée en désuétude en 1991 par un passionné de l’histoire locale qui n’est autre que l’actuel propriétaire. Il la transforme et y installe son domicile ainsi que le Cercle d’Histoire et d’Archéologie d’Evere qu’il avait porté sur les fonds baptismaux en

 

1988. La grange est aménagée à l’aide de matériaux de récupération en estaminet des vieux métiers.

 

En mai 1994, Christian Stevens quitte la Présidence du Conseil d’administration du Cercle d’histoire. Le Cercle s’installe au Musée communal en apportant dans sa hotte tous les outils reçus pendant les années passées au Geuzenberg et exposés dans l’annexe du musée.

 

En date du 17 mai 1994 naît le « Geuzenberg »  musée de la Witloof asbl.

 

 

Le visiteur qui entreprend de découvrir l’endroit doit s’attendre à un dépaysement assuré. Longeant une large avenue bordée de building, il pénètre un peu hésitant dans un parking rien moins qu’accueillant et découvre soudain, alors qu’il pensait s’être fourvoyé, un carré de verdure défendu par une barrière.

Une fois franchie, elle révèle un vrai morceau de campagne, avec sa mare aux canards et ses volailles en liberté.

Le contraste avec les immeubles voisins est quasi surréaliste.

 

« Petit coin de campagne au milieu d’une forêt de…building »

 

Le musée

Seul musée de la Région bruxellois du genre ! Il présente en plein air et sous abri, tout le matériel et les outils cédés par Jules Heymans (centenaire), le dernier cultivateur de witloof de la commune.

 

L’ancienne grange est un hymne à la vie villageoise d’autrefois :

Un comptoir en bois, des murs chaulés, des marionnettes, des bouquets de fleurs séchées, des outils de fermier dont notre esprit de citadin a bien du mal à deviner l’usage, un ancien moulin à grains et des bibelots rétros, tout concourt à nous faire remonter le temps pour retrouver l’Evere traditionnel d’avant-guerre.

 

Pourquoi un musée de la Witloof à Evere et… Pour quoi faire ?

 

Tout d’abord, et ce n’est pas une lapalissade, parce qu’il n’en existe pas. Le fondateur a tenu à regrouper les initiatives isolées afin d’éviter la dispersion - par la manie de certains de garder exclusivement l’information pour leur compte propre - voire la perte rapide du patrimoine suite à la méconnaissance des biens et des lieux où l’on vit

Parler de « mémoire collective » n’est pas une expression vaine et creuse. Notre travail journalier nous renforce dans la conviction, comme dit la chanson de Mouloudji « que tout fout le camp ». Quelques métiers parmi les plus florissants de la commune ont disparu tels les briqueteries, les travailleurs des fonderies Lallemand, sans oublier les chiconniers, dont on a même oublié l’existence.

 

Programme et Objectifs de l’Association

 

 

Pour la publication des ouvrages (+/- 400 recettes archivées)

En collaboration avec les habitants, l’Asbl contribue à étoffer l’exposition des outils reçus du dernier chiconnier d’Evere qui cultivait le légume sur les terres mêmes du Geuzenberg et qui, à ce jour encore, nous aide et nous conseille :

 

 

Pour la création d’un lieu culturel afin d’offrir aux habitants un endroit où se rencontrer, tout âge confondu.

Public cible

 

Tous les habitants de la région et non seulement les passionnés de la Witloof.

Le meilleur exemple en est le « bouche à oreille » qui fonctionne merveilleusement bien après une visite au Geuzenberg. Beaucoup arrivent à se raconter, à se restituer dans le temps.

 

Les écoles, par exemple, à partir de ce que les jeunes visiteurs ont observé, pourraient suivre une animation dans la section active : discussion, dessins, création d’objets, narrations, contes, travail dans les plantations, etc.

Cette animation est très importante si l’on veut créer chez le jeune visiteur l’envie et le goût de revenir avec ses parents et, chez les parents, le souci de visiter avec leur enfant un lieu culturel qui ne soit pas ennuyeux.

En dehors des enfants, il est possible d’imaginer des actions spécifiques avec les adultes et le troisième âge.

Pourquoi ne pas inviter les aînés à venir raconter aux enfants leurs « histoires de jeunesse ». Cela permettrait de renouer le dialogue entre les générations et de permettre aux gens plus âgés de se sentir concernés et valorisés.

 

 

                                         Le musée est divisé en :

  • une section réservée à l’exposition du matériel avec description de l’outil

  • une section didactique ou l’on montre par panneau la culture du légume

  • création d’un petit potager classique en vue d’initier les enfants à la culture de la terre

  • animation en groupe sur la coupe, les modes de cuisson et la cuisine de la Witloof

 

Ce musée n’est pas le but final de notre travail mais un volet de celui-ci qui doit simplement permettre aux habitants de la région de partir à la découverte de son passé par des biais très divers et de participer lui-même à l’élaboration de nouveaux projets.

 

 

 

 

 


quelques photos d'ambiance

Le restaurant  et la cuisine

et la witloof dans tout cela ...un petit instant ca vient

et apres la vaisselle !!!!!!


Les animaux


la culture de la witloof

La maison et le bed&breakfast


pv de dissolution

Assemblée Générale du mardi 7 novembre 2006

 

Ordre du jour Approbation du PV de la dernière AG

Mot du Président

…………………………..Rapport financier

…………………………..Rapport des vérificateurs aux comptes

Proposition de dissolution de l’ASBL

Désignateur d’un liquidateur

 

L’AG débute à 20..00 hrs

Sont présents – Christian STEVENS, Norma MUSIEK, Richard CHRISTIAENS,, Maria –sol TULLIO,

 

1.Approbation du PV de la dernière AG

Le Pv est accepté

 

2.Mot du Président

Le propriétaire à décidé de vendre sont bien pour diverses raisons et nous en a fait part. Nous avons explorés avec le CA toutes les possibilités pour le devenir de l’asbl Nous sommes malheureusement arrivé à la conclusion que la reprise était impossible, vu qu’aucun repreneur, ni membres était désireux de se lancé dans ce nouveaux challenge

Donc, le CA vous propose de dissoudre l’asbl,vu que le projet est arrivé à sa fin par manque de collaboration des autorisées communales qui souhaitent acquérir le bien pour en faire un restaurant social

Il faudra également vous prononcé pour un liquidateur qui vous fera rapport lors de la prochaine et dernière AG

 

Je tiens à vous remercier pour le travail accompli pendant ces années, pour certain

15 ans pour d’autres un peu moins, mais je puis dire avec certitude que nous avons vécus une période de notre vie formidable dont les habitants de la région de Bxl capitale se souviendront encore longtemps, car nous avons mis en place les bases d’un endroit convivial et surtout nous avons fait prendre conscience aux autorisées communale qu’il fallait arrêter l’urbanisation à outrance en faisant table rase du passé

Je vous remercie

 

 


Liste des bénévols

 

Mohammed Abdessadak,, De Heer en Mevrouw Alloo, Alain André, Didier André, La famille Arend, Anita Auquier, Mariel Bailleul, Jeanine Bartholomeus, J. Bell, Marie-Josée Bijl, Marc Bolly, Eliane te marc Bontemp Rolant Bonneville, Fatima Boufsil, Christian Carton, Richard Christiaens, Ginette Clerbois, José Cnop, Jany Coenaerts, Martine Coenaerts, J.B. Coenen, Pierre Collys, Suzanne Corbisier, Francis Darc, Monsieur De Cock, M. De Coster-Verbelen, M.J. De Gieter, Anne-Marie De Gottal, Philemon De Hauwere, Willy De Meersman, Yvette De Reys, Michel De Spiegheleer, Madame De Vogelaere, Caroline De Voghelaere, André De Walckiers, Louis Dejong, M. Dekenain-Vandenbroek, Monsieur Delrez, Henri Denecker, Louis Dietz, Suzy Dietz, M.C. Dony Dédé Dujardin, Monsieur et Madame Focqenoy, André Fonck, Luc Ginion, Julie Goldstein-Casteels, Georgette Heidenrecht, M. Hernalsteen-Sovet, Jules Heymans, Henri Hillaerts, Raymond Hutse, M. Joppartentiers-Van Lautem, Kristof Karpovitch, Monsieur et Madame Krick, Gisèle Kusters, Famille Labiau, M. Lanoit, M. Leclercq-Frederique, Lucien Froidebise, Jacques Lemaire ,Nicole Lerminez Christine Linssen, Marcel Maes, M. Meert, J.-P. Meysman, Willy Moors, Norma Muzieck, Josiane Olivier, M. Oswald-Vanderstukken, Petrus Otte, Claude Paulet, Katty Plasman, Johan Point, Léo Poncin, Francis Puttemans, Monsieur Racape, François Raes, Frans Ramael, Laurent Riguelle, Frederico Rodriguez, Maximiliano Rodriguez, Charles Roos, Jean Rosquin, Antoine Saenen, Philippe Samijn, Michèle Samion, Karl Signet, Chantale Smeets, Marie Sol Tullio, Charlotte Stevens, René Stuckens, Louis Stuerebaut, Mohammed Tabich, Lionel Tanghe, Michel Tanghe, Madame Tasset-Toussain, Christiane Tonus, Raymond Uyttendaele, André Valcke, Henri Van Aerschot, Willy Van Cauwenbergh, M. Van Cutsem-Volkaerts, Robert Van De Walle, Simone Van Den Eynde, Roger Van Der Elst, Francis Van Hamme, M. Van Tuykom-Van Stuyn, Jean Van Walle, Antoine Vanden Eynde, Raoul Vanderborght, Fabienne Vanderlinden, Michèle Vanderroost, Roger Vankoninxloo, Pierre Verbeek, Luc Verbiest, Monsieur Verhelst, Arlette Verschoren, Didier Versee, Nicole Vertommen, David Waiengnier, Jos Wijns, Dominique Willems, Joseph Willems, Suzanne Willems, Monsieur et Madame Winnepeninckx, Gérald Witthaus

Roger Knops, la famille Hiel,

Honeywell, Hôtel Belson, Solvay, les Forces armées belges, l’administration communale d’Evere, Micromédia, la brasserie De Troch, Brico Stalingrad, Assuravis, Wauters, Delhaize, Sony center Liedts, Brasserie New Remi

Toute la presse écrite et audio-visuelle francophone comme néerlandophone

Sans oublier tous les clients, visiteurs et anonymes qui nous ont soutenus pendant notre combat pour la sauvegarde des lieux

 

Milles excuses à tous ceux et celles que nous avons oubliés

 

 

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Acte authentique de la vente du geuzenberg
acte authentique de la vente du geuzenbe
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